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Mots-clés

Porto Rico
Julio Enrique Monagas
sport
justice sociale
populisme
hégémonie

Résumé

Durant les années 40, Porto Rico bénéficia de l‘essor économique survenu aux États-Unis après la deuxième Guerre mondiale. Profitant de cet afflux de capitaux, selon une idéologie de justice sociale la Commission des sports et loisirs du gouvernement portoricain, présidée par Julio Enrique Monagas, a mit en place un programme de construction d‘installations sportif et de loisirs à travers l‘île. Les stades furent construits en masse non seulement dans les zones urbaines mais aussi dans les zones rurales, un processus qui par la suite sera appeler « révolution sportive ». Par le biais de cette Commission des sports, le gouvernement expliquait que l‘objectif de ce vaste projet de construction n‘était que pour moderniser le système sportif et répondre au besoin de la societé. Toutefois, cette politique de sports et loisirs découlait plus d‘exigences la part du public pour des meilleures installations et de programmes sportifs. Ainsi, l‘un des enjeux de ce programme, connu sur le nom « Un parque para cada pueblo » (Un parc pour chaque ville), fut le motif des au-delà d‘une modernisation des infrastructures attendue de longue date, devait contribuer à améliorer la société. Toutefois, cette politique de sports et loisirs découlait plus d‘exigences accrues de la part du public pour des installations et des programmes que de décisions gouvernementales venues d‘en haut. Ainsi, un des enjeux de ce programme, aussi connu comme « Un parque para cada pueblo » (Un parc pour chaque ville), fut la négociation des termes d‘une relation hégémonique entre le Partido Popular Democrático émergent, les citoyens, et le colonialisme nord-américain.
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